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Vis de mots, maux de vie : cynisme ardent.

admin | 30 juin 2008 | 1:07

V-ivre pleinement en maximisant ses heures de vie dont on profitera le plus possible n’est il pas une manière de jouir bêtement et naïvement des choses sans retenue, comme le ferait un rat qui activerait un stimulateur de dopamine relié à son cerveau. En partant d’une volonté de s’élever par la conscience au dessus de la nature et de l’animal, l’homme en vient à masturber  le roseau de sa belle existence jusqu’à ce que celui ci ne soit déchiré trop rapidement : alors qu’il voulait se détacher des déterminismes instinctifs, il retombe dans ces déterminismes par la peur de mourir, en enrobant ces désirs animaux dans des cadres sociaux correspondant.

I-ntéressez vous à la vie plus qu’a la vie simple ou riche serait un début d’existence raisonnée. Le but n’est pas de vivre pour se détruire, car la chance de vivre est inférieure à la probabilité de ne pas exister, mais de simplement vivre. Cependant, alors que la volonté est simple, qu’en sera -t-il dans les faits? Qu’est ce qu’une vie simple ? Une vie loin de la consommation, des désirs ? Le désir crée du désir, effectivement. On ne peut réver de quelque chose dont on n’a pas vu. En ce sens, un asocial congénital ne souhaiterait que vivre. Le développement de ses potentialités est il nécessaire s’il mène à une destruction de l’espèce. En cherchant à rester dans l’histoire de l’espèce humaine, l’homme simple ne ferait qu’accélérer sa perte en contribuant au développement humain, inégalitaire, source de conflits, dès la hutte.

E-n effet est il pertinent de vouloir continuer l’expérience humaine ? Le développement et l’histoire n’ont prouvé que l’homme par son développement développait la jalouserie foncière , l’inégalité, la division des richesse, le vol, la guerre, la différence, l’exclusion. Pourquoi continuer ? Pour que l’homme puisse accomplir ses formidables développements dans sa petite bulle terrienne qu’il détruit à petit feu ? Si ces développements sont par rapport à la connaissance de l’homme ou de la nature , dans les deux cas la mort de l’Homme entrainera ces connaissances dans la mort et l’oubli. Quand la Terre disparaitra, l’homme sera dans les systèmes solaires à jouer éternellement à cache cache avec le temps, avant que la vie ne se refasse quelque part, humaine s’entend. On pensera alors au vieux sage qui parcourt les montagnes en compagnie de son vase précieux contenant les connaissances de l’humanité. Aussi, toute la connaissance humaine contenue dans un parfum pourrait s’échapper avec les derniers humains. Tandis que l’histoire de la connaissance de la terre s’arrêterait, de nouveaux territoires seraient à découvrir, remettant en cause les postulats de départ de la science terrienne. En ce qui est des humains, l’évolution fera qu’ils devront s’adapter aux environnements plus rudes, à la température variante, et au manque d’oxygène sur Terre. Les nouveaux humains auront ils les phénotypes humains actuels ? Surement pas. Quel est alors l’intérêt de connaitre une espèce temporaire , une variation temporaire de l’évolution. L’homo sapiens sapiens fera place à l’homo neo sapiens, provoquant ainsi tout un travail de recherche de nouveau à refaire. Si l’homme doit à chaque époque se reconnaitre , se retrouver éternellement, et découvrir sans cesse son nouvel environnent qui aura changé son apparence physique et sa physiologie, c’est avant tout car il sait qu’il va mourir. Il y a cette idée innée dans la vie que l’homme a très vite conscience qu’il peut avoir mal. Alors que l’enfant se teste, le concept de vulnérabilité de l’homme grandit. Et l’on aboutit à une conception très dualiste entre âme e corps, doublée d’une conception téléologique des choses. Ainsi, non seulement l’enfant dira qu’une chaise était faite pour s’assoir, comme dans le cadre de l’harmonie pré-établie de Leibniz, mais aussi qu’il y a une différence majeure entre âme et corps, car l’enfant en premier se perçoit comme corps, avant le stade miroir ou les deux états concordent. La peur perpétuelle que l’une des deux instances corporelles ou psychiques ne soit altérée trop vite avant la mort fatidique, doublée du fatalisme congénital de l’homme en ce que l’on apprend à l’enfant en l’éduquant que les choses sont faites pour faire ce qu’elles font entrainent une volonté innée de profiter de la vie, puisque l’on sait, et ce concept est enrobé socialement par la notion de plaisir de vivre, de joie de vivre, que l’on va mourir. Ce profit perpétuel des choses entraine une volonté de se connaitre et de mieux connaitre son environnement, comme pour mieux connaitre la mort, sa cause, ses raisons, avant qu’elle n’arrive. La mort et l’homme ne jouent en réalité qu’au chat et à la souris , quelque soient les référents spatiaux, orbitaux, ou darwiniens selon les stades de l’évolution. Seule demeurera peut être la peur de la mort, qui entrainera cette perte de temps perpétuelle, ce retour à zéro. Les connaissances passées ne pourront même pas resservir dans une planète différente ou des systèmes différents, donc cette chasse à la connaissance perpétuelle parait bien inutile étant donné les dégâts que l’homme s’inflige et inflige à son environnement dans les référents géographiques divers. Mais serait ce  commettre  une erreur en incorporant la notion d’environnement. Il ne prend pas le sens de gâchis et de droit de la terre, de droit naturel, conscience morale de l’homme envers la nature, ce qui serait plaquer un concept actuel sur une réalité intemporelle qui est celle de l’évolution et du progrès au détriment de l’environnement. Il parait bon d’exprimer le fait qu’il n’y aurait aucune raison que l’homme dégrade proportionnellement plus son environnement que les autres espèces, que ce soit sur terre, mars, ou autre. Y a t il ici un concept trop social d’égalité des chances de développement, mal placé car non absolu et social ? Il est difficile en effet de se détacher de ce concept.  Comment critiquer le fait que l’homme  prend plus de place qu’autrui dans l’univers sans en appeler à des concepts sociaux, humains, non absolus. La nature et l’évolution, seule juge objective, favorise le développement de quelques espèces. Le fait que l’homme prenne plus de place ne peut donc être assimilé à une sorte d’erreur ou incongruité de la nature, mais de don de chance élevé à l’homme sur terre. Plus élevé qu’autrui ? Difficile à dire, étant donné que chaque espèce instinctivement cherche à s’imposer aux autres. Chacun peut donc dans les faits s’imposer violemment aux autres, pour des questions de survie et de sauvegarde du territoire. La situation de l’homme est donc délicate, car comme les autres espèces instinctivement il s’impose aux autres et défend son territoire. La différence est qu’il a l’impression de se percevoir de manière plus réfléchie que les autres animaux, ceci l’amène donc à détruire l’environnement qui l’entoure, et à supposer illégitime la vie d’autres espèces, forcément dans son esprit inférieure à lui. Le concept de la prise de place excessive ne peut donc être invoqué, parce que chacun à son échelle , dégrade son environnement et celui des autres espèces. L’homme est donc une simple espèce entre autres, et  ce qu’il a l’impression de détruire est ” à la mesure de l’homme’. Mais alors, cela voudrait il dire que l’homme se détruit lui même et se préoccupe de la destruction d’éléments naturels à échelle humaine, qu’il use pour son développement et sa subsistance ( arbre, nourriture ) alors qu’il n’a que faire du fait que certains requins à leur échelle dégradent des écosystèmes coralliens. Chacun à son échelle bouleverse la vie de l’autre. Que peut donc imputer à l’homme ? L’éventuelle critique et interrogation pourrait partir du fait que le requin lui ne peut que détruire le corail et peu d’espèces ou écosystèmes, alors que l’homme peut dégrader l’eau qui dégradera l’environnement de l’homme ( auquel directement le requin ne peut toucher ) , l’écosystème du requin, et les écosystèmes eux mêmes détruits par le requin en aval. Cependant cette critique montre ses faiblesses car elle montrerait que l’influence inter espèces est à sens unique : en d’autres termes, cela impliquerait que seul l’homme peut dégrader en aval son environnement. Or ce serait postuler que l’homme est au sommet  de la chaine des espèces humaines, simplement parce que il a conscience d’être plus grand, donc plus à même que ses activités et existences détruisent l’environnement des espèces différentes. Mais n’oublions pas que  certains comportements des poissons pourraient faire par des interactions internes que l’eau vienne à se polluer. De même , si les animaux terrestres sont frappés de maladie, tout environnement de la bête et de l’homme sont atteints. A chaque fois, l’eau par exemple qui aurait été contaminée par des rejets toxiques de certains poissons interagissant avec leur environnement ou la viande de vache ou la qualité de la salade, environnement de cette dernière  modifié par cette dernière, affecteront l’homme. Même si chacun au bout d’un certain temps s’adapte, il n’en demeure pas moins que cette dégradation est à double sens, donc on ne peut blâmer l’homme de s’imposer plus à la nature, puisque la nature peut très bien renverser la tendance en affectant son environnement, donc sa survie. Deux conclusions débouchent alors. Soit l’on considère que l’inégalité réside dans le fait que pour que les poissons polluent la mer et les lacs  ( par interactions successives ) et que les vaches polluent l’environnement humain , le temps et l’influence sera disproportionnée. Pour caricaturer et sur-simplifier, disons qu’une contamination affectant l’environnement humain et l’homme sera variable, mais supérieure à des dizaines d’années, tandis que les conséquences meurtrières d’une bombe atomique dans l’océan sont immédiates.  Cette première solution débouche sur une certaine cruauté ,  dis-homogénéité dans la dégradation de l’environnement car l’animal poisson ou vache ne fait que vivre, et s’il venait à dégrader l’homme ne le ferait pas volontairement, alors que l’homme paré de sa conscience souveraine a l’impression de faire ce qu’il veut, d’avoir une volonté et de s’élever au delà des instincts : si on fait l’hypothèse cartésienne du cogito cartésien, de la conscience, il y aurait donc une cruauté dans l’action humaine , connaissant parfaitement la disproportion de dégradation. En d’autres termes, l’homme sait qu’il dégrade alors que le poisson ne le sait pas, ce qui fait toute la différence, si l’on postule la conscience humaine comme absolue et qui existe pour autrui, ce qui n’a pas été compris puisque les espèces trop éloignées génétiquement ne se comprennent pas. La deuxième hypothèse est de considérer la nature non seulement comme les espèces en présence, mais aussi comme l’évolution et l’action d’un ensemble de phénomènes  innés à la terre, automatiques. La nuance a apporter serait de dire que la nature n’est que l’ensemble des phénomènes qui conduisent à une situation, et non la situation . En d’autres termes, il serait bon de considérer que la nature n’est pas un ensemble d’espèce, mais le conteneur, le moule de ces espèces : elle est une sorte de robot mixeur, et les objets mixés sont les espèces modulés par les batteurs du mixeur, entendez la mes manifestations de l’évolution ,  non l’action de la faune et de la flore  autonome, mais d’après les lois naturelles, phénomènes incontrôlables. La deuxième hypothèse conduit à considérer que l’homme en s’attaquant trop  à l’environnement de l’autre finira par provoquer des réactions naturelles en sa défaveur. Pour éclairer ce trait de spiritisme vaseux, disons que l’homme est modelé par la nature et qu’il ne peut résister à cette dernière car l’évolution est un phénomène naturel qui a modelé l’homme. Interaction entre homme et environnement il y a eu, mais il a été  précisé   dans notre approche que la nature selon lui ne désignait pas l’environnement mais les phénomènes arrivant à l’environnement. Cette deuxième conclusion aboutit au fait que l’homme en influant sur l’environnement influera sur l’évolution des espèces de cet environnement dont il fait partie. En influant sur l’autre et son environnement, l’homme stimule la nature et l’évolution qui le fait évoluer. En se dégradant, l’homme se fait évoluer et passe à un autre stade humain, qui lui même dégraderait l’environnement à mesure qu’il se connait et veut vivre pleinement de son activité destructrice contre les autres espèces.

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La nature et l’environnement.

admin | 3 juin 2008 | 11:43

Il apparait clairement que l’environnement est une préoccupation claironnée haut et fort dans les médias, le discours commun, les petites discussions politiquement correctes, ainsi que le monde politique, ou encore de l’entreprise.

Le problème posé ici est le suivant : la majorité des politiques incitent les consommateurs à réduire leur usage d’eau, ou à acheter des maisons “vertes”, ou encore à choisir leur voiture en fonction de sa consommation. La remarque est intéressante et à de quoi faire rire, étant donné que la politique actuelle est d’opprimer les plus faibles pour faciliter le fonctionnement des plus riches. Il est bien plus simple d’insuffler dans l’esprit popuiaire l’argument “vert” afin que chacun consomme quelque peu moins. On se basera sur des statistiques vraies mais exagérées dans lesquelles on soulignera l’importance de la massification du phénomène : en quelque sorte, si tout le monde fait des économies, c’est l’intéret général qui en sera grandi, et l’humanité sauvegardée. On assiste donc à des pseudo scènes émouvantes de propagande ou l’on peut apercevoir une famille heureuse dans leur nouvelle maison écologique, l’état subventionnant biensur ce genre de pratique.

Mais ce type d’incitation à la consommation plus légère est elle vraiment une préoccupation sincère de l’état ou une manière de prendre plus à ceux qui consomment le moins pour permettre aux gros pollueurs de consommer plus. Ainsi, alors que les statisticiens clament haut et fort que fermer son robinet d’eau permet d”économiser sur une année X lites, il est à souligner que cette quantitée d’eau est perdue plusieurs fois par jour par les centrales nucléaires, sans parler des locaux de google qui ont des besoins énormes pour le refroidissement des serveurs, ou bien encore le glouttement aquatique des arroseurs automatiques de nos chers américains, ou de nos chers entrepreneurs à dubai, sans évoquer le cas de la monstruosité biblique qu’est le burj al arab, pompe phénomènale “7 étoiles” au beau milieu d’un déser de pétro-dollars. Quel ridicule de brider les particuliers par rapport à leur infime quantité d’eau consommée au quotidien par rapport aux littes engloutis en un rien de temps, quotidiennement. Le pire est que les consommateurs, endoctrinés, ont l’impression de commettre une bonne action, d’agir pour l’humanité, ou le bien de tous, alors qu’en réalité leur action ne sert à rien car leurs efforts sur l’année en quelques heures des millions de fois par des entreprises et multinationales. La consommation d’essence est aussi comique dans la même veine : alors que l’industrie aeronautique se vante de sortir de nouveaux avions propres, la majorité du traffic aérien se fait par des avions qui ont fait leur preuve en matière de stabilité et de surconsommation de kérosène : il serait alors intéressant de comparer en un jour la consommation mondiale du trafic aéren avec celle du consommateur moyen, ou même de la ville moyenne. Et l’on verrait que la proportion est incroyablement élevée : en d’autres termes, les dix millions d’habitants de l’agglomération de paris pourraient rouler en hummer surgonflé pendant un an sans atteindre la consommation en quelques jours des aribus et autres joyeuseuries.

Le plus intéressant est de censurer la consommation des pays développés à économie de marché, alors que des pays en développement subiront les mêmes problèmes et consomment bien plus que les actuelles premières puissances mondiales. Que voulez vous rétorquer économiquement à la chine ou au japon, qui dévalue sa monnaie et qui se tourne essentiellement vers l’exportation ? Economie passée en 50 ans du moyen age, à grand coups de déréglementation et de production moins chère, les besoins des dragons ou bébés tigres, sans parlers des jaguars latino américains, sont garguantesque. La seule philosophie raisonnable n’est pas de priver les PDEM de leur consommation, étant donné qu’ils finiront par se faire écraser démographiquement et énergétiquement par l’inde ou la chine. Quand ces pays seront devenues les premières puissances mondiales, il sera alors intéressant de voir que même les usa n’auront plus leur mots à dire et devront se soumettre aux dépenses énergetiques de ces pays gloutons sans sourciller, sous peine de couper des branches de consommation : le chantage politico financier des pays de l’opep en est un exemple et préfigure le climat futur. En d’autres termes, profitons avons qu’il ne soit trop tard . A un certain moment, quelques soient les conjectures, les pays en développement finiront par avoir les mêmes problèmes économiques que les pays développés actuels. Cependant la surface pour que chacun vive décemment, l’empreinte écologique, n’est pas infinie, et il faudrait 7 planètes terre pour que chacun ait la consommation nord américaine au quotidien . Etant donné que la population augmente , les besoins augmenteront, ainsi que les exigences en consommation massive pour que les économies en développement ouvrent leurs frontières et procèdent à leur take off.

Le coeur de cet article est de dénoncer l’ élément suivant :

 L’état est hypocrite car il associe économie d’argent au concept de bonne action par rapport à l’environnement. Il semble qu’objectivement et si l’on se place dans une attitude individualiste, le plus efficace soit l’économie d’argent et non l’économie d’énergie pour la planète. Les maigres économies des ménages sont sabotées en un temps infime par des entreprises puissantes , privées ou publiques. La résultante est que plus les entreprises sont puissantes, plus elles sont nécessaires, donc plus elles polluent, et moins on peut s’en passer. Par conséquent, le volume infime économisé par les ménages, même si l’action de sauvegarde était collective, serait au profit des entreprises polluantes. Une sorte de plus value de pollution que l’on exploite aux ménages en leur faisant croire que tout est affaire d’environnement. Le sujet est pernicieux car la finalité est soi disant de commencer par ce que les plus faibles et insignifiant économiquement ou politiquement diminuent leur consommation avant que les groupes industriels vitaux diminuent la leur. La procédure est d’invoquer l’environnement. Cependant en soi, outre les les gens exceptionnellement  altruistes ou bons de nature, personne ne va faire d’efforts pour l’environnement, car cela demande de l’argent, et beaucoup trop d’investissement pour que ce soit rentable à l’échelle de la vie humaine. Par conséquent, l’argument de l’argent est tout trouvé : Vous ferez des économies, donc vous ferez à terme un geste pour l’environnement. En influant la ou ça fait mal, l’état a très bien vu le potentiel d’endoctrinement populaire. On drogue le peuple pour qu’il puisse faire ses pseudo économies inutiles, qui permettront de sauvegarder un peu plus pour les grandes multinationales. Il s’agit de retarder le plus le moment ou ces grandes multinationales devront réellement faire des économies, au lieu de pomper sur le peuple un surplus maigre et si vite consommé.

Passons maintenant à la question du droit de la nature . Il apparait que ce concept est lié à une forte anthromorphisation de la nature : en effet, on la figure comme un être qui souffre et se détériore, comme un être humain, afin que la population soit plus sensible aux dégradations . Le problème est à mon sens mal placé. En effet, le problème n’est pas prioritairement que la nature se dégrade, mais plutot que l’humanité disparaisse. On assiste à un changement d’optique d’ailleurs dans la politque de développement des économies mondiales. Les états ne cherchent plus à se développer et à s’étendre, progresser techniquement comme aux stades industriels passés. Le régime actuel est un régime pessimiste : il s’agit d’éviter d’amplifier les conséquences de l’existence humaine sur terre. Les entreprises quand elles auraient l’impression de participer à la sauvegarde de l’environnement ou de l’avenir humain sont juste en réalité en train de limiter leurs production, de l’orienter dans un certain sens. Le droit de la nature est une manière de rejeter la faute sur une entité humaine, afin de déculpabiliser l”homme. Ainsi, si la nature se dégrade par la faute de l’homme, l’homme n’est pas seul à agir néfastement, et symboliquement aussi incongru que ça puisse paraitre la nature serait en faute. Dans l’esprit des gens, ce serait à la limite de la faute de la nature qui est trop faible de ne pas pouvoir supporter le poids de l’existence humaine : on aboutit à un déséquilibre fondamental et paradoxal : l’homme peut s’imposer et jouir sur le monde en passant du savoir au faire et en exploitant la nature au maximum, accomplissant soit disant le degré souverain d’action de la conscience humaine souveraine, cependant, la nature elle aurait à la limite tort de ne pas supporter une si humble tâche.

Il est intéressant de constater que dans la chaîne existentielle des individus, les hommes sont ceux qui prennent sur terre le plus de place . est ce que le fait que l’homme soit doté de conscience suffit il à s’imposer proportionnellement plus que les autres espèces. Evidemment, on pourra souligner que les animaux dégradent également leur environnement, mais cependant dans une mesure moindre. Le problème humain est que étant donné que l’homme a conscience de sa finitude, il ne peut vivre de passions comme les cyrénaiques, et se bat pour le pouvoir, l’influence, du au contexte compétitif de structures sociales dans lequel il nait et évolue. Le pire est que lorsque l’homme ne connait pas l’animal car ne le comprend pas, soit il l’asservit injustement en le placant comme son chien de compagnie pour son amusement personnel stérile, soit en le méprisant et le transformant comme jouet de foire comme dans les zoos, pour que les yeux porcins découvrent déja dans un contexte de soumission l’animal. Comment voulez vous respecter un animal si la première fois que vous le voyez est dans un cage, ou un zoo ? LE pire est que des organisation telles que la SPA pourraient apparaitre salvatrice car garantirait la protection des animaux . Que nenni! Elles légitiment le fait d’inférioriser l’animal et de le placer inférieurement à l’homme. Que sait on de la complexité du langage des dauphins, abeilles, fourmis ? Rien, nous intuitons et fabulons, comme à notre habitude. Je méprise ce que je ne connais pas. Les indigènes avaient la même réaction par rapport aux colons de christophe colomb ou vasco de gama : ils brulaient leurs corps pour voir s’ils pourrissaient. L’étranger est analysé, intérprété car on ne sort pas du commentaire et de l’interprétation comme le souligne ricoeur. En effet, celui ci rappelle qu’au lieu de tirer de la nature des leçons qui formeraient un langage symbolique aboutissant à l’autonomie de ce langage, l’homme ne fait qu’interpréter et n’explique pas, que ce soit mot à mot ( freud ) ou dans l’absolu ( nietzsche ). C’est pourquoi j’abonde dans le sens de la déraison de nietzsche en se méfiant des interprétations hatives de la petite existence humaine. L’Esprit marche vers la rationalité abolue pour Hegel, et les partisans de la téléologie se gâve un peu comme leibniz d’une harmonie préetablie qui ferait que chaque chose à forcément un but puisqu’elle est.. Je crois que l’avis de wittgenstein sur le sujet est éloquent : le simple fait que le monde existe signifie qu’on ne peut le déduire de la raison. AUssi, nietzsche souligne que la logique est emprisonnante et ne mène qu’a des raisonnement qui n’expliquent rien. Comment revenir alors à l’illogisme originel ? C’est cet illogisme qui pourrait faire comprendre à l’homme qu’il n’y a pas une histoire universelle de l’homme ( linéraire différent de cyclique dans l’antiquité ) mais des histoires en chaque homme ( fernand braudel ). L’homme n’est pas la mesure de toute chose dans l’absolu et devrait s’incliner comme les autres espèces. Aucune raison ne peut être invoquée pour placer l’homme dans espace de supériorité : les fourmis ne comprennent pas les abeilles, et ce n’est pas pour autant qu’elles vont détruire la ruche en l’envahissant. L’environnement me parait aussi un faux débat étant donné que la seule manière de résoudre les choses actuellement serait d’éradiquer l’espèce humaine. L’homme ne fait depuis la nuit des temps que détruire ce qu’il crée, et en subit les conséquences en se plaignant que la nature ne soit pas à la hauteur, ce qui est illogique et égoiste. Tous les êtres peuvent vivre en paix sans se marcher dessus, sans entretenir des rapports de domination. Une société fondée sur le don ou un altermondialiste “potlatchien” des indiens d’amérique du nord serait probablement la solution pour que l’homme retourne à son état de simple animalité en se débarrassant de ces soi disant sophistications que sont la société, les arts, sentiments, etc….

Voila pourquoi il me semble saugrenu et hypocrite de la part de l’homme d’imposer des contraintes aux petits consommateurs alors que ces derniers consomment le milliardième des gros producteurs qui face aux caméras esquissent un semblant d’éthique avant de déreglementer à tout va. Les droits à polluer sont à cet égard la plus grande incohérence, car légitime la pollution, la dégradation paradoxale du cadre de vie humain, donc de l’humain. En voulant progresser, l’homme a créé des droits à la dégradation non de la nature, qui elle se reconstituera ( la vie trouve toujours sa place sans l’aide inutile de l’homme ) , mais à sa propre destruction. Cependant, l’humanité est en régression : le temps ou l’on vivera dans des bulles artificielles , mi homme mi robot viendra un jour. D’”autres incohérences apparaitront alors : des virus humains sur des tissus de robots, et des virus informatiques dans des organes robotisés placés sur des humains.

Je terminerai cet article par une citation sur la nature que j’ai écrite l’année dernière :

La vie ? une succession d’actions conditionnées. La naissance ? Une liberté conditionnée en à l’hopital dans certaines parties du monde, dans la nature dans d’autres, mais toujours au milieu des siens. La mort est encadrée et célébrée de la même manière ou que l’on soit concrètement par un cercueil, symboliquement par des rites divers. Partout, nous nous imposons tels des vandales à la Nature qui nous rejette farouchement : malheureusement, une éternité n’a pas encore permis à l’Homme de réaliser que son apparition ni son évolution n’étaient pas des présages bienveillants.

nb : prenez des bains à tout va, ne céder pas à la propagande abnégationniste du léviathan hypocrite de l”état. Imaginez bien que le fils d’al gore ( réalisateur d’une vérité qui dérange ) prend lui aussi des bains tous les jours dans son jacuzzi à bulle, tandis que nicolas hulot en voulant sensibliser le monde pollue des écosystèmes à cause de l’équipement vidéo qu’il transporte, sans parler d’arthus bertrand qui doit c’est sur beaucoup se restreindre, dans son appartement du 16 ème . Oui, l’incohérence est criante, alors souvenez vous bien que ce sont dabord les grands qui doivent diminuer la consommation, avant que la politique naive du ” si tout le monde si met” fonctionne.

Carpe diem

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Est il bon ou mauvais d’être prétentieux ?

admin | 30 juin 2007 | 12:40

{couleur,#0000ff}Est-il bon ou mauvais d’être prétentieux ?{-couleur}

***** Décomposition des termes de l’énoncé *****

Nous avons 3 éléments, 3 notions qui cohabitent dans cette question :

1/ La notion de bien et de mal.

2/ La notion de prétention.

3/ La notion de bien et de mal par rapport à la notion de prétention.

***** Difficultés de réponse éventuelle, problèmes relatifs à la question *****

1/ La notion de bien et de mal : - Chaque humain, groupe d’humains, milieu social, société, entité politique, religieuse, militaire, commerciale, institutionnelle, chaque pays, ville, régions, tribu, micro-société possède ses propres codes plus ou moins déviants ou en accord avec les valeurs de l’entité dominante et leurs codes, si entité il y a. On peut donc affirmer que ces notions sont subjectives : chaque individu se fait sa propre vision du bien ou du mal, et est influencé (dans une certaine mesure) par l’entité dominante dans laquelle il évolue d’une part, et par les différentes sphères secondaires dans laquelle il se meut constamment.

=> La difficulté réside dans la subjectivité des concepts de bien ou de mal.

2/ La notion de prétention :

Techniquement, nous allons dans un premier temps faire appel au dictionnaire.

Attention : Le dictionnaire ne fait que donner le sens que la majorité des gens donnent aux choses et ne déclame pas de vérités absolues sur les choses. (La vérité absolue, concept influencé en réalité par la société, n’existe probablement pas lorsque l’on s’attache à des problèmes aussi subjectifs.) Il se charge plutôt de référencer les choses et de les définir selon le sens commun.

Nous allons faire appel à cet outil afin de ne pas écorcher le sens du terme, et que l’étude porte sur un objet précisément défini, et de ce fait compris et admis de tous.

Cette définition est issue d’Encarta :

{i}Attitude qui dénote une trop grande estime de soi-même.

Synonyme: vanité
Synonyme: présomption
Synonyme: suffisance{-i}

1/ Le fait de revendiquer, de prétendre (1.) qqch., en vertu d’un droit que l’on affirme, d’un privilège que l’on réclame.

2/ Prétention à…, de… (et inf.). Le fait de revendiquer pour soi (une qualité, un avantage intellectuel, moral); le fait de se flatter d’obtenir (un résultat).

Nous nous attacherons à la seconde définition, car même si la première est liée à la seconde ( comment affirmer un droit, un privilège sans se considérer plus apte, donc meilleur qu’un autre, à en disposer ), cette seconde est le coeur même du problème de la prétention, son essence.

Cette définition d’ores et déjà nous indique qu’il peut exister trois sortes de prétentions :

- La prétention passant par la communication aux autres individus de ses actions, opinions, idées, etc. en termes très mélioratifs, hyperboliques, sans se moquer des autres individus : c’est la prétention “simple”, qui est en réalité la concrétisation, le passage par la parole ou les actes d’un égo très important, d’un orgueil marqué. C’est une prétention “d’orgueil communiqué”, appelée encore le “moi je suis génial” sans altération d’autrui.

- La prétention que l’on peut dénoter chez l’individu, car ce sentiment est exprimé délibérément ou non envers les autres à travers des attitudes, paroles, et comportement particuliers ; l’individu se compare à ses interlocuteurs directs ou indirects en se pensant systématiquement supérieur en un ou plusieurs points : c’est la prétention moqueuse. Evidemment, deux sous-cas apparaissent : la prétention moqueuse directe, où l’on affirme devant la personne sa supériorité par rapport à elle, et existe également la prétention lâche, couarde, qui consiste à communiquer à une ou plusieurs personnes le fait qu’on se sent supérieur à une ou plusieurs personnes non présentes évidemment dans le groupe ou l’unité d’écoute.

- La prétention qui existe chez une personne, qui se considère donc supérieure à une ou d’autres personnes qu’elle par définition, mais qui garde cela en elle : en quelque sorte, la personne est orgueilleuse et toise les gens du haut de sa personne en son fort intérieur, sans en faire pâtir obligatoirement (par mépris intérieur donc agression intérieure) les êtres qu’elle considère comme potentiellement inférieurs à elle. C’est une manière de s’estimer au dessus des autres en les critiquant au besoin mais de ne pas le communiquer : c’est la “prétention silencieuse”.

D’autre part, une personne peut être plus ou moins prétentieuse, ce qui nous amène à trois cas découlant des modèles précédents :

- La prétention “d’orgueil communiqué” :  étant donné que l’orgueil, c’est-à-dire l’estime exagérée de soi-même, est variable, son expression, sa communication sera également variable. Donc, selon l’importance de l’excès de considération positive qu’un individu a de lui-même, le degré lexical, superlatif, comparatif mélioratif s’en ressentira et le “moi je suis quelqu’un de positif” pourra alors prendre des teintes positives différentes, échelonnées.

Ces teintes, classées en échelles, vont symboliquement du ” moi je suis bien/bon”, au “moi je suis génial, le maître de ma catégorie/activité”, et accessoirement dans des cas extrêmes le “maître du monde”.

- La prétention délibérée : il y a communication là encore du positivisme de l’action de la personne ou de la personne en elle-même, mais il y a aussi comparaison avec autrui et dévalorisation de ce dernier évidemment. Les deux sous-cas suivants sont modulés comme nous allons le voir :

-> La prétention directe : l’individu peut se montrer plus ou moins humiliant et peut plus ou moins abaisser le niveau ou niveau de compétence de la personne. Cela dépend de son niveau de sadisme, de cruauté, de sa force de caractère. Cette sous-prétention est très variable selon les individus.

-> La prétention couarde : les gens qui abaissent le niveau d’autrui dans leur dos en  se surestimant par rapport à eux le font par calcul, par pure méchanceté, par vengeance, par arrivisme, ou par simple affirmation de leur grande personne. Cependant cette affirmation n’a que peu de mérite étant donné qu’elle est indirecte ce qui dénote soit une peur de l’interlocuteur, soit une volonté de brouiller les chemins, une entreprise manipulatrice et déstabilisatrice, c’est-à-dire une volonté d’agresser la personne sans qu’elle ne s’en rende compte. L’agression est menée soit par la disproportion entre les qualités miraculeuses du prétentieux et le peu de qualité de la personne, soit par l’affirmation hyperbolique ou non des défauts ou reproches concernant la personne, sous-entendant de ce fait que le prétentieux n’a pas ces défauts.

- Vient enfin la prétention silencieuse. Encore une fois, cette prétention dépend des entités supérieures environnant l’individu, du caractère individuel du “prétentieux”. Deux sous-niveaux apparaissent alors, eux-mêmes pouvant s’exercer à des degrés différents :

-> Le niveau de surestimation de soi sans altération des autres, à différents niveaux, selon la hauteur de l’opinion que la personne se fait d’elle-même.

-> Le niveau de surestimation de soi en se comparant explicitement (intérieurement, tacitement) aux autres : la personne dans ce cas ne se croit pas uniquement géniale ou très bonne ou utile, mais se croit meilleure, donc le rapport plus ou moins méprisant envers autrui joue. Ceci est également modulé par les différences de caractère des personnes que le “prétentieux” rencontre ainsi que la compatibilité et l’incompatibilité de caractères, n’explosant pas sur le moment entre les individus, mais étant refoulées au moment de la réflexion intérieure personnelle du “prétentieux”.

=> L’ambigüité du terme qui est pluriel, ainsi que les niveaux variés de prétention,  constituent les difficultés majeures en rapport avec cette notion.

3/ La notion de bien et de mal par rapport à la notion de prétention :

La formulation absolue “est-il” semble indiquer qu’une réponse est possible. En effet, la question en soi n’est pas complexe car seuls deux choix, le bien et le mal, sont proposés. Mais cela est une fausse simplicité, car le problème invite à une réponse dans un cas général, or comme nous l’avons vu la notion de prétention est plurielle, donc la perception que l’on peut avoir de cette prétention est variable selon bien sûr les différentes prétentions, mais aussi leurs niveaux d’intensité respectifs, ainsi que l’environnement personnel de l’individu, son autorité supérieure, ainsi que, enfin, son propre caractère. Le fait que la personne soit elle-même prétentieuse ou qu’elle ne le soit pas changerait beaucoup de choses concernant le jugement de cette dernière.

Ainsi, au-delà de considérations déjà fortement subjectives telles que le mal ou le bien, (qui évoluent au fil des âges,  ce qui empêche tout jugement général précis sans approximation, au profit d’une étude de la société à l’instant T), viennent s’ajouter de nouvelles variables. Le total des intervenants est mentionné ci-dessous :

- le bien ou le mal : des notions subjectives
- les prétentions sont de différentes sortes, à des niveaux d’intensité variable
- environnement de la personne, autorité supérieure, moule social, familial, éducationnel, et enfin caractère jouent un rôle majeur

**** Tentative de résolution : précisions préalables *****

Ainsi le problème du bien ou du mal apparaît alors un défi inextricable si l’on ne prend pas de référentiels d’époques, puis de groupes de personnes, de sujets en quelque sorte. Même dans une entité, quelle qu’elle soit, censée être unie, des dissidences apparaissent. Les marges d’erreur pour la réponse à la question dans des groupes prétendant partager la même opinion à un instant T sont plus faibles que l’étude d’un groupe de personnes plus important, où les dissidences seront statistiquement plus présentes, et où les réponses à la question subiront des marges d’erreur plus importantes. Cela pour préciser que si l’époque est importante, le référentiel est important, mais l’élément majeur est sa taille : en effet, plus le référentiel est numériquement faible, et plus le risque d’erreur, d’approximation est réduit. Ceci explique que l’évaluation de la société est bien plus floue, délicate et de ce faite soumise à des itérations et suppositions calculatoires importantes que l’évaluation de la réponse à la question pour un individu, quoique cette analyse soit complexe du fait des éléments cités plus haut, pouvant se résumer par “la personne elle-même, son environnement, son rapport aux choses du monde”.

***** Technique de résolution : à un instant t, quelque soit le référentiel *****

Dans la plupart des cas, répondre par oui ou par non à un instant T varie en fonction de la taille du groupe.

-> Pour étudier un groupe, on peut se baser sur l’activité et les revendications ou buts du groupe de manière générale, afin de déduire vers quel penchant “bon ou mauvais” conviendrait à une attitude prétentieuse….

-> Pour étudier un groupe de manière très précise, on effectue le travail de recherche sur les différentes données relatives à chaque individu, c’est-à-dire [

{i}- le bien ou le mal : des notions subjectives
- les prétentions sont de différentes sortes, à des niveaux d’intensité variable
- environnement de la personne, autorité supérieure, moule social, familial, éducationnel, et enfin caractère jouent un rôle majeur{-i}

] au cas par cas, afin de déduire si selon ces paramètres la personne considérée considèrerait comme positive ou négative une attitude prétentieuse.

L’intérêt de ce travail minutieux est qu’il garantit une précision bien meilleure que l’évaluation d’après le rôle idéologique ou théorique du groupe perçu comme un tout, et non comme la somme d’intérêts, de personnes, individualisées. La conception de groupe, qui est une approche rapide, est donc unilatérale, correcte mais pas infaillible, du référentiel (correct car la probabilité que les études au cas par cas ainsi que les buts, rôles de l’entité théorique du groupe entier coïncident est forte, ce qui permet des itérations de réponse).

Bien sûr, l’étude au cas par cas permet des statistiques de sommes des paramètres cités plus haut pour le groupe, et non plus l’individu à part entière. Ainsi, selon les statistiques et le nombre de BIEN et de MAL déduits logiquement des observations préalables des critères ci-dessus (représentant la somme des intérêts particuliers, la somme des caractères et rapports particuliers aux choses et à soi-même), une majorité de réponses déduites logiquement se manifestera, et le pourcentage désignera statistiquement, mais très précisément pour le cas de l’étude au cas pas cas, la réponse probable, éventuelle du groupe à la question initiale. Ceci permettra donc de déduire logiquement, en fournissant un travail préalable d’étude poussée respective des membres du groupe étudié, une conception plus positive ou négative qui se détachera.

Evidemment, le travail pour le groupe seul, sans se baser sur les intérêts particuliers, est plus rapide, cependant les pourcentages exacts de “mal” et “bon” seront probablement moins précis car découlant de trop de présupposés (et d’occultations d’éventuelles différences internes inhérentes au groupe)…

***** Technique de résolution : universelle (répondre “bien ou mal” dans l’absolu, en occultant toute dimension temporelle) *****

Trois techniques existent, elles ont des approches différentes :

- La première consiste à effectuer le travail sur un groupe précis, comme un tout, à travers les âges, en ne tenant pas compte des intérêts particuliers, en se basant sur les idées théoriques et revendications ou buts, etc., du groupe faisant abstraction de la somme des individus qui composent ce groupe.

Exemple :  est-il bon ou mauvais d’être un “prétentieux” de classe bourgeoise ?
Le travail consisterait à étudier les paramètres cités plus haut pour la classe bourgeoise à travers les âges, les années pour être le plus précis, depuis que la classe existe, c’est-à-dire à partir du début de la seconde révolution industrielle.

- La deuxième technique consiste à tenir compte des intérêts particuliers, en étudiant au préalable les paramètres cités plus hauts pour chaque bourgeois de la classe, en reproduisant ce travail tous les ans, ou mois, ou jours dans un souci maximum de limitation d’erreur, afin de recueillir de manière très précise, donc quasi universelle les informations, aboutissant à une majorité de bien ou de mal très proche de la réalité, ne souffrant de quasiment aucune méprise si le relevé est effectué tous les millièmes de seconde par exemple au maximum, bien que les changements de paramètres ne s’effectuent pas heureusement à cette vitesse. En appliquant à nouveau tous ces paramètres à tous les membres chaque millième de seconde, chaque année depuis l’apparition de la classe (avec marge de 2 ans avant et après l’apparition et la disparition de la classe), en combinant et compilant à chaque millième de seconde les résultats individuels sous forme de somme majoritaire de paramètres particuliers, on pourrait déduire à chaque millième de seconde la réponse à la question “bien ou mal” par déduction logique. Ainsi, en compilant ces résultats de millièmes de seconde au moment exact du millième de seconde marquant la fin + 2 ans (la marge de sécurité) de la classe, nous aurions la somme universelle, historique, de la somme des paramètres de groupes aux millionièmes depuis X années, ou X millièmes de seconde…

Quoi qu’il en soit, le principe est le même que pour les mathématiques : en gardant les valeurs exactes, le résultat n’en sera que plus précis. C’est pourquoi il vaut mieux effectuer ces statistiques finales sur des sommes d’intérêts particuliers au cours d’années que sur des sommes de “bien ou mal” déjà déduites logiquement pour chaque année ; la précision serait évidemment plus faible, bien que très exacte….

- La dernière technique est un raisonnement sur la nature de la question, sur sa forme, son but, “pourquoi pose-t-on cette question”, “quelle réponse attend-on de nous”, etc.

***** Essai de résolution du problème *****

Je ne m’attarderai pas à réaliser les 2 premières techniques que je propose, chacun peut réaliser l’expérience sans la pousser au millième de seconde, ou en ne prenant que les paramètres pour le groupe  (référentiel pouvant être un individu seul) à un instant T, il obtiendra en théorie de bonnes itérations comparées à la solution de l’étude universelle très approfondie…

La réponse universelle n’existe pas car les paramètres sont trop nombreux. Si la question est posée, la prétention définie en société comme plutôt négativement (cf Robert et Encarta) est connue de tous. La question est trompeuse car la prétention est définie comme négative. La question qui apparaît alors serait plutôt : “la prétention, au-delà de ses aspects négatifs, peut-elle présenter des aspects positifs ?”… Même avec cette nouvelle question, la réponse est modulée par les fameux paramètres. Les lois de la subjectivité et des paramètres n’admet aucune hypothèse trop rapide et une réponse immédiate serait une ineptie, car résultant d’une démarche personnelle, donc se résumant implicitement à s’analyser et donner son avis malgré la réponse à la question, alors que seule une démarche objective, détachée au cours d’années, dans une période donnée, à intervalles réguliers et rapides permettrait une réponse théorique quasi exacte.

Cependant, nous pouvons tenter un essai de réponse à la question :

IL est important de signaler que la prétention correspondant à la première définition est une matérialisation de la seconde définition : en effet, si l’on estime être doté de telles qualités, il est naturel que de ceux ci découlent des droits et privilèges sociétaux à leur mesure. Ceux ci exigés sont très nombreux, dans des domaines forts variés, et une énumération exhaustive serait fastidieuse et inutile quant à la question que nous nous somme posée. En effet, ne semble t -il pas nettement plus intéressant de percevoir au coeur de la prétention, de cet orgueil surfait, si il peut en effet s’avérer bon ou mauvais ?

Attachons nous en premier lieu en quoi la prétention peut s’avérer bénéfique. Attention, le bénéfique sera dans le sens objectif du terme, par rapport à la société, et non l’objectivité bénéfique du point du prétentieux, c’est à dire que l’on ne fera point appel à ce que pourrait considérer comme bénéfique le prétentieux pour lui, mais plutôt aux avantages effectifs observés que ce trait de caractère leur apporte dans la société. Mais la encore, même dans un simple mot tel que celui de bénéfique se dévoilent une quirielle d’intérets dont le personnel ressort nettement. Il est clair que le prétentieux prétend de manière naturelle être supérieur en quelque catégorie que ce soit aux autres hommes. Les cas de prétention, avant d’être traités, peuvent se résumer de la manière suivante , par catégories :

la prétentieux a un égo supérieur a la normale et entend de ce fait disposer naturellement de privilèges par rapport aux bulles sociales suivantes :

- Le travail : pouvoir, autorité, exigence, ascension sociale rapide si les prétentions sont en en adéquation avec le niveau effectif d’efficacité prétendu, et si cette prétention est relativement tolérée au sein du personnel , et de la charte de conduite ou logique de fonctionnement de l’entreprise.

- la famille : autorité, inculcation de valeurs en adéquation avec le prestige prétendu, création d’un tissu social avec des personnes ayant les mêmes prétentions. ( Le bénéfique ici est que la famille, aussi prétentieuse soit elle ne vit pas dans la seclusion et conserve malgré cette inadaptation à la société ( le prétentieux trouve que la société globalement à tous les niveaux ne le vaux pas, ou se prête a la déprécier constamment ) des relations sociales avec ses pairs.

- relations avec autrui : respect obtenu par la peur ou l’intimidation ( nous discuterons dans la seconde partie de l’aspect éthique quant au mode d’obtention de ce respect ), conservation d’une zone d’intimidation se garantissant des attaques éventuelles de ses pairs. Le mot sécurité, zone de sécurité peut ici être employé, et convient tout à fait au concept de pudeur ; on peut donc parler d’une zone de pudeur, qui peut parfois être augmentée par la tenue vestimentaire du prétentieux qui chercherait à montrer que étant donné qu’il vaux mieux qu’autrui, ses habits devraient correspondre en proportion à son statut, son image prestigieuse qu’il se fait de lui.

-loisir : le prétentieux se considère prioritaire en ce qui est de l’accès aux loisirs. Le sujet prétentieux, la plupart du temps, est gestuellement dit épidermique, c’est à dire qu’il est susceptible, impatient. Ainsi, toute personne, prétentieuse ou non,  placée sur son chemin sera considérée comme une menace est une perte de temps. Imaginons un prétentieux devant faire une queue : il ne voudra absolument pas la faire, et cherchera probablement à gagner quelque places, constituant un avantage au niveau d’appréciation du loisir ; par exemple, l’on voit mieux une pièce de théâtre si l’on est placé au devant, de  même pour un concerto ( bien que la spacialisation puisse jouer parfois en faveur des personnes au dernier rang ), alors que par exemple cet empressement pourra être négatif pour le cinéma, car un visionnage prolongé d’une toile luminescente à forte pertinence rétinienne pourrait provoquer des désordres rétiniens bénins, voire dans le pire des cas des crises soudaines épileptiques, si le film présente des passage à teneur stroboscopique marquée. Etre prétentieux peut  donc  être un avantage dans les loisirs.

Maintenant, voyons les désavantages objectifs de la prétention :

- travail : si la prétention est creuse ( la personne prétend vraiment de ce qu’elle n’est absolument pas capable de réaliser ) ou que l’entreprise ne tolère aucun écart , et que l’humilité et l’ouverture d’esprit sont sur-prônés ou importants, alors l’individu prétentieux ne trouvera pas sa place dans le milieu du travail nécessitant de plus en plus le travail en groupe , donc l’écoute de l’autre, symboliquement synonyme de respect de l’autre.

- famille : La coupure des sphères jugées dangereuses peut conduire à une ignorance de ces dernières, donc à une intolérance voire irrespect. Par exemple, comment voulez vous qu’un riche homme d’affaire connaisse avec clairvoyance le quotidien d’enfants au darfour, ou la situation sanitaire déplorable de personnes vivant dans des habitations à loyers modérés. La caricature est parlante, et elle le sera encore plus quand on assimile le lieu de vie, et les apparences de vie en somme d’un groupe, avec sa valeur morale. Les extrêmes de la prétention sont l’inculcation de valeurs frisant le racisme et autres causes défendables bien évidemment, tout à fait louables ( la liberté de pensée nous permet de souhaiter l’intolérance d’une bonne foi désarmante ) mais en pratique, dans la démagogie populaire, qu’il ne vaut mieux pas prononcer à haute voix. Que pourra penser le jeune alors du monde , de la vision du monde que ses ou l’un de ses parents lui a inculquée ? Une vision tronquée, déformée probablement. La prétention peut être aussi déstabilisante dans le couple ou le prétentieux pourrait s’octroyer une  importance capitale , négligeant le rôle du partenaire. Actuellement, une femme prétentieuse sera perçue plutôt comme une “battante” incarnant l’émancipation féminine égalitaire post - années 70 ( produisant finalement une  discrimination féminine envers les hommes car sur-marquant l’importance de non discrimination féminine )  donc ce point serait positif car aboutissant à un changement des conscience ( homme à tout faire devenant une réalité bouleversant des millions d’années d’évolution selon laquelle, comme l’eut dit Rousseau, la femme  naturellement resta au coeur de la hutte pour veiller sur l’enfance alors que l’homme partitt en quête de ressources   ) , tandis qu’un homme prétentieux produira l’inverse. Ainsi, si un homme éprouvera des fortes difficultés à faire reconnaitre à sa femme qu’elle fait preuve de prétention ( car cette dernière se protégeant sous la couvert de l’émancipation féminine, prétexte aux excès  ) l’homme excessivement prétentieux  n’aura pas de mal à être dénigré par le corps féminin et l’opinion publique . Simplement à cause de clichés machistes avérés , ancrés, qui pourraient aboutir à une volonté masculine de considérer sa femme comme une auxiliaire de nourriture, de prise en charge des potentiels enfants ( ou si le prétentieux atteint des sommets d’interdire le contact mère-enfant car voulant se réserver l’éducation de ce dernier pour lui tout seul, étant donné que la femme en serait considérée comme proprement incapable ) , et exutoire sexuel. L’aboutissement est le conflit répété, l’incompréhension féminine de l”attitude masculine, générant des tensions, et à terme le divorce dans le pire des cas.

-relation avec autrui : Si le prétentieux peut impressioner de par son apparat ou l’exhaustivité prétendue de ses talents, il n’en demeure pas moins qu’il peut faire peur. Tant de supériorité affirmée peut rendre certaines personnes réfractaires au simple abord du prétentieux. C’est à dire que l’environnement du prétentieux, c’est à dire les gens, ont tellement pu entendre parler du prétentieux, que selon les sensibilités personnelles de chacun ces derniers chercheront soit à fuir du coup par peur, dédain, ou à tomber dans le piège de séduction. Le problème de la prétention est celui de la crédibilité. Socialement parlant, le prétentieux s’est constitué une sorte de caste de sbires, vassaux et sous fifres de l’organe principal qu’il constitue. Ces derniers en tous points l’imite, mais conservent une certaine déférence d’apparence ou de vocabulaire, par rapport au prétentieux. Chez les adolescents, cela passerait par une organisation en bandes défendant le chef principal et se mouvant au gré de ses directives d’attaque des plus faibles ou de conquête d’éventuels camps opposés, alors que plus tard, cela se manifesterait dans une relation amicale par une personne prenant un net ascendant psychologique sur ses pairs, que ce soit dans un groupe de personne ou une équipe de travail en entreprise. Le problème de la crédibilité repose sur l’impossibilité pour le prétentieux d’échoir. S’il ne porte sur lui ou en lui les signes qu’il a toujours préconisé directement ou indirectement ( codes vestimentaires,  typologie du lexique ) il se dévalue et perd tout intêret aux yeux de ceux qui jadis lui portaient un certain intêret. Le prétentieux possède soit des amis ou compagnons aussi prétentieux que lui ( même s’il entretient un rapport de compétition avec celui ci, mais ayant  la même attitude de dédain-prétention envers lui pour sauver la forme et ne pas entrer en contradiction avec sa doctrine personnelle ), soit avec des personnes en général ralliées à sa cause car elle sont impressionées formellement. La question  est que il est louable et compréhensible que le prétentieux , bien qu’il ne prétende logiquement le contraire, veuille avoir des contacts, voire des amis, donc il a tout à fait la possiblité de jouer de sa faconde ou jouer de ses aisances financières pour frapper et rallier, mais la ou demeure le problème est que s’il n’assure plus les mêmes standards de qualité, il perd tout d’un coup . Pourquoi ? Car tout est affaire de simulation, de forme. Figurez vous deux amis ou deux compagons masculins ou féminins entretenant une relation d’amitié sincère. Si jamais un jour cette amitié venait à être ternie, il y aurait toujours des liens d’amitié suffisament peut on le supposer forts pour que la relation ait des chances de se poursuivre, devenant donc plus forte , comme le voudrait Nietzsche. Alors que le prétentieux, dépourvu de sa forme, serait comme un nu  sans son olivier salvateur, un homme nu, qui n’a plus rien à quoi se raccrocher. Le pire est que en général ce genre de personne impressione en groupe, en caste comme nous l’avons dit,  mais si l’un des membres , un sous vassal par exemple, venait à douter de la supériorité du chef, alors toute la meute s’en irait. Une réserve est cependant à porter : si la personne impressione et est prétentieuse du fait de sa faconde et/ou volubilité, la parole sera un moyen toujours plus fort que les habits pour rattraper ses erreurs ou manquements à l’ordre naturel de démonstration de supériorité, car la parole , l’idée,  est éternelle la ou l’argent paternel ou sur le compte du prétentieux ne l’est pas, à moins de vous mesurer dans un moment de folie à Monsieur gates, au demeurant à l’image de philantrope fort humble.

- loisir : Evidemment, le problème est le suivant : bien que le prétentieux s’adjuge un droit de priorité, aura - t - il la chance ou la malignité de passer outre. Clarifions cela par l’exemple  : il y aura en caricature le prétentieux qui réussira parce discret et intelligent à se faufiler dans la queue, arriviste patenté, et l’autre beuglant de fureur pour s’imposer. L’echec de la prétention se situera au niveau de la personne prétentieuse ne pouvant contenir son mépris et crachant son venin sur autrui : ” mais laisser moi donc passer, monsieur” ; ” allons donc, petit joueur, laissez votre place”, “dégages ordure”, ” veuillez me laissez passez, brave homme”, et j’en passe. L’absence de malignité est que ducoup, les apersonnes dans la queue prêteront attention à cette ttitude. Résultat négatif dans la plupart des cas ou une micro rébellion se formera dans la queue, à supposer évidemment que la prétentieux n’ait pas accès à une queue V.I.P. Donc , que la personne impressione et effraie les gens de la queue, ou qu’elle se fasse repousser gentiment ou méchamment vers les bordures extérieures de queue, elle provoquera un esclandre et ses chances de réussite de passage sont réduites. D’autant plus que la discrétion donc la malignité est ici capitale car que cela soit aux abords de discothèques ou d’opéras, des agents de sécurité soucieux d’assurer le déroulement de zones d’attente préloisirs dans une relative quiétude rôdent. Et eux, mûs par des ordres hiérarchiques intransigeants et rompus aux subtilités des divers  élongations de tendons, prompts étouffements et douces sections de membres issus de ce que l’art oriental recèle de plus riche en ce qui est de la défense de soit, n’auront pas des balancements de conscience en ce qu’il faut ou non punir l’énergumène déplacé agitant grossièrement ses bras s’octroyant droit de passage. Simplifiant, nous dirons que l’individu sera neutralisé.

***** Conclusion *****

La question est solvable en théorie à tous les niveaux, et peut s’appliquer à tout type de référentiel, dans n’importes quelles conditions, à condition de défier les lois du temps pour effectuer un travail quasi exact. Cependant une étude des paramètres sur des référentiels donnera des résultats en général corrects, dont la pertinence par rapport à une réalité non vérifiée (mais estimée et projetée, déduite d’après les paramètres) dépendra des différentes méthodes d’études exposées. Nous sommes parvenus magré tout à établir une typologie psychologique et comportementale de la prétention par la théorie et l’exemple, pour ne pas rester dans de grandes considérations vides et faire preuve un peu de pragmatisme. Car si ces analyses ne sont pas pratiques, l’intellectuallisme est fort creux dans ce cas. L’intêret avoué de cet article est de pouvoir retrouver dans l’entourage de personne les schémas et attitudes décrites types afin de vérifier dans les faits les théories.
La question est donc résolue au point du vue universel et à l’instant T théoriquement. La faisabilité universelle est évidemment discutable (comment mesurer des millièmes d’années passées, voir de millénaires passés), mais cela, c’est une autre question…

Annexe :

///// —>  Est il prétentieux de faire un article portant sur la prétention ?
=> Dans la mesure ou ce trait de caractère existe, il n’est pas plus prétentieux d’écrire sur la prétention que sur l’amour, car ces phénomènes peuvent toucher tout le monde. Cependant le fait d’avoir choisi la prétention et pas un autre trait n’est pas anodin

//////—–> L’auteur est il prétentieux alors ?
=>Pas obligatoirement, il se peut qu’il ait voulu, car passioné d’analyse comportementale, rendre compte de ce qu’il a observé dans son entourage proche.

//////—-> Une dernière question que le lecteur peut se poser. Quel évènement serait alors prétentieux de votre part si ce n’est écrire un article portant sur la prétention ?
=> Cela : Copyright 2007/2008 B***s*e   G**   rg***llon ( mesure de sécurité identitaire )

/////——> Si vous ne l’avez pas fait, c’est que vous n’êtes pas si prétentieux que ça alors ?
=> Je le suis surement un peu , mais de type silencieux, donc la moins grave, et celle qui vous affectera le moins cher lecteur!!

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