Burning edge Spirit

Renaissance

Soufflent, bercés dans les caresses euphorisantes du vent

Sages baisers fruitiers, douces embardées

Etendues d’huiles aqueuses cernent l’instant

Meurisiers, palmeraies, cocotiers, bruissent en mon âme ces fluviales effluves d’antan

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Pains des jeux, avalanches électroniques

Sueur, éblouissement, stroboscopie hédonistes

Deversent dans nos coeurs artificiels l’aimant technologique.

Entrelacements au son des Muses, attouchements cubistes.

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Volées en éclats bleutés, festoiement oculaires et tournoiement de larmes.

Piquantes suggestions, jerbes de l’envie, ruisseaux d’extase savamment dévoilée

Projection cérébrales aux affres buccaux, de pregnance la fantasmagorie s’arme.

Illusions du vouloir et de l’espérance, compromis alcoolique du conformisme fidélisé.

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Les teintes opaques de la culpabilité humaine rayonnent de joie.

Satire de l’homme au chevet de l’illusion comique amoureuse.

Au soir, gangrénée d’une fièvre, regrettée tempérance d’autrefois.

Venu le matin, étalements de vie, aplats d’existences conscrites et rieuses..

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.Ressentis comprimés, audacieuses enjambées et brigues couplées

.N’ajoutent qu’a ces incessants marivaudages qu’une volupté future

Conformisme du renouveau, absence de l’exacerbé.

Consacrent la saveur de l’amertume , rueries immatures.

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Déchainements Grecs sur l’égée de Feu

Trépas soudains, virulents étouffements des nuées du remord.

Un jour viendra, ô mon Soleil cajoleur de la mort

A demi mot, sera - ce sincérité cachée, ou élan commun vers les cieux ?