Les personnalités du monde étudiant
admin | 24 mars 2008 | 13:44Cet article est écrit en collaboration avec les deux auteurs.
Les lycéens ont pour rôle premier de travailler du mieux qu’ils peuvent dans leur établissement. Cependant, cela est de la théorie, et la théorie peut s’avérer loin de la pratique car travailler peut se faire de bien des manières. Pourquoi me demanderez vous ? Cela est fort simple, car les êtes sont différents, la diversité humaine existe, même au sein d’un lycée ou l’on est formaté. Ce qui va suivre tente d’être le plus exhaustif possible : c’est une liste très longue, un récapitulatif des types caractéristiques d’élèves, avec leurs nuances. L’observation se base en premier lieu sur des clichés classiques avant de s’affiner et de se nuancer pour espérer couvrir une portion représentative de la population lycéenne. Il va de soit que chaque être possèdes ses propres petites touches personnelles, ces petits rien qui font de quelqu’un un être original, et unique. Cette unicité se doit d’être respectée, évidemment, c’est pourquoi l’exhaustivité souhaitée est plus un idéal absolu que la réalité. En effet représenter des personnalités par des mots peut s’avérer très simple et rapide, ou énormément compliqué. Plusieurs personnes consacrent des livres entiers et thèses de psychologie sur une ou plusieurs personnes, ce qui démontre l’incroyable diversité de caracrère humains, mais aussi la complexité de ces caractères. Nous ne pousserons pas notre étude si loin, mais nous essairons de rester un minimum précis dans notre démarche, afin de ne pas dénaturer la personnalité en question. Ceci étant tenu pour dit, je vous souhaite une excellente lecture.
Nous allons raisonner en stéréotypes en premier temps, avant d’affiner la recherche :
Voici un plan du premier niveau de personnalité : les clichés
- Homme
Lycéen
-Le cool-Intello-Le Timide-Le pertubateur- Le simplet-le coincé
}- Le cool : c’est une personne qui a une attitude décontractée. Il n’est pas omnubilé pas le travail, ce n’est pas sa préoccupation majeure, sans qu’il l’ignore pour autant.Il prend les choses avec recul, philosophie, ne s’énerve que rarement. Le cool profite de la vie, la vit au maximum. Il se démarque soit par sa tenue qui est relachée, soit par son attitude bienveillante, encourageant les autres à ne pas se faire de souci pour la suite des études, et à positiver. Le cool porte bien son nom : en effet, il n’est pas aggressif, donc se montre avenant et sociable : il est ouvert à tous donc sympathique.
}- L’intello : C’est une personne qui se détache par ses résultats scolaires. Il est surnommé ainsi car “intello” se substitue à “intelligent”, donc quelqu’un qui parvient grace à ses capacités intellectuelles et son travail en général régulier et sérieux à obtenir de bons résultats. En général, il consacre une partie assez importante de son temps au travail, afin d’obtenir toujours de bon résultats. Il a un style vestimentaire plus formel, plus classique en général que le “cool”. C’est une personne moins ouverte que le cool, qui ne parvient pas toujours à se distraire. Il n’est pas aggressif même si un excès de travail peut provoquer cela. Il ne perturbe pas les autres, et peut être le moteur ou le dynamiseur d’une classe. Il inspire de la jalousie à certains de ses camarades, ou provoque une émulation positive. C’est un électron apprécié des professeurs. La réciproque peut être vérifiée dans une majorité de cas, car ces professeurs en général ne lui apportent que de bonnes notes, donc il n’y aurait aucune raison de les blâmer, à moins de vouloir faire preuve d’hypocrisie, ou de fausse modestie, donc de prétention.
}- Le timide: C’est une personne qui se détache des autres par un trait de personnalité qu’il paradoxalement ne parvient pas à cacher : sa timidité. En effet cette personne a peur du contact des autres, ou ne veut ou ne peut pas faire le premier pas dans une relation sociale quelque qu’elle soit. Il éprouvre pour le moins beaucoup de difficultés à atteindre ses objectifs en matière sociale. En général il ne possède pas un nombre important d’amis, et il ne serait pas incongru de dire que ses premiers amis seront des gens qui iront vers lui naturellement ou non. En effet certains camarades plus expansifs peuvent éprouver de la compassion, voire pitié pour la personne et vouloir l’intégrer au groupe, pour la rassurer, la mettre en confiance, brisant ainsi sa solitude. Aussi, les premiers amis de cette personne pourront être des personnes timides qui par un hasard malheureux ou heureux se rapprochent du timide. Les deux timides ont de grande chance de commencer à communiquer car partagent les mêmes peines et soucis d’intégration et il est probable qu’ils deviennent de bons camarades voire de bons amis. La personne timide ne porte pas de vêtements ostentatoires. En effet, elle veut se fondre dans la masse. Elle porte des vêtements les plus formels voire austères qui soient, ou les vêtements à la mode mais qui n’attirent pas l’oeil. La personne en question n’est pas excessive dans sa tenue vestimentaire. Le timide a souvent beaucoup de mal à s’affirmer, et le passage de l’adolescence peut se révéler un vrai calvaire. En général, le timide réprime sa personnalité, il la cache par peur des autres. Par conséquent, celle ci se développe ou non en secret, à l’abris des regards. Le timide prendra donc une personnalité de “substitution”, c’est à dire une attitude qui rentre dans un moule comportemental de la classe de la personne ou de la société. Ainsi la personnalité de la personne est censée est littéralement effacée, ou imiter un modèle de ses camarades les plus proches en diluant ce caractère. On se fait une image de la personne , cette image étant fabriquée de toute pièce. Etant donné que le timide ne veut pas se faire remarquer, il n’a aucune raison d’être naturellement agressif envers ses pairs. C’est pourquoi il apparaitra le plus souvent comme un être gentil, affectueux, fidèle, réservé, et très pudique. Il est sympathique, mais cette sympathie vient du fait que la personne n’est pas contrariante et ne cherche que à s’effacer, donc se montre la plus compréhensive et flexible possible. C’est une sorte de sympathie provoquée malgré le timide, alors que par exemple le cool extériorise ses impressions, donc il y a une initiative personnelle, une communication délibérée, ce qui n’est pas le cas pour le timide. Les notes du timides sont extrêmement variables. On pourrait raisonner de la manière suivante : étant donné que le timide n’a pas énormément de contact, soit il se montre très attachant envers son ami ou ses amis , soit se réfugie dans le travail, soit se réfugie dans les loisirs, de manière individuelle évidemment.
}- Le perturbateur : Comme son nom l’indique, cette personne ne respecte pas les règles établies. Cela peut se traduire par des violations de règlements intérieurs de toutes sortes , ou des aggressions envers les proches du perturbateur, ce qui est aussi évidemment une violation du règlement intérieur. Ces violations sont perpétuées dans l’enceinte du lycée. Le perturbateur se moque des règles établies, donc en général affirme avec provocation sa différence et son mépris de l’ordre. Ceci se traduit d’une part par le vocabulaire employé qui est beaucoup plus colloquial que ceux de la majorité de ses camarades. D’autre part, la tenue vestimentaire se veut d’une liberté totale,mais en général est différente de celle des autres : plus osée, plus trash, plus provocante, ou dépareillée. La tenue se démarque d’une manière ou d’une autre de celle des autres. En général, les résultats de la personne ne sont pas bons, ou alors excellents pour se permettre de mépriser l’enseignement.
}- Le simplet : C’est le jugement le plus subjectif qui existe d’une personne, car il se veut un tant soit peu prétentieux, ce qui coupe court à toute objectivité. En revanche, la société établit des codes selon lesquelles l’on est considéré comme simplet ou génie. Le simplet est donc une personne qui possèdes ses facultés mentales réduites par rapport à la moyenne établie. La personne en question est nommée de la sorte, car elle manifeste involontairement par la parole ou les gestes sa déficience. Des gestes incohérents, une parole lente, lourde, embarassée, trainante, un discour inconstruit, sont d’autant d’arguments pour qualifier une personne en tant que telle. Le simplet du fait de ses capacités mentales jugées réduites n’obtient pas de bons résultats scolaires, ils sont même en général déplorables ou très mauvais. Le simplet a beaucoup de mal à se lier d’amitié avec ses camarades qui le jugeraient trop inapte, trop stupide, ne présentant peut d’intêret, hormis celui de la moquerie, de la torture, taquinerie, ou une éventuelle affection béate. Cependant le simplet ne cherche pas par définition à semer le trouble : il est pacifique de fait. Il peut attirer la sympthie de ses camarades, bien que la sincérité de cette relation soit rarement véritable. Cependant, le simplet peut partager une relation tout à fait normale avec un autre simplet. Il aura du mal a entretenir une relation malgré tout avec une personne moins “diminuée” que lui. Seules quelques personnes dotées d’une grande compassion, d’un grand coeur, d’une gentillesse et d’un attentionnement important iront vers ce genre de personne. Il peut etre, à l’instar du timide, pris dans un groupe par compassion ou par projet de moquerie ultérieure aisée.
}-Le coincé : La personne n’extériorise pas ses émotions. Cependant, il existe deux types de personnes qui n’extériorisent pas leurs émotions : premièrement, celles qui le subissent, celles qui ressentent cette difficulté d’expression corporelle et sentimentale comme une tare, pathologiquement, contrairement à ceux qui ont choisi de ne pas extérioriser leurs émotions. Pourquoi aurait on l’idée de choisir ses émotions ? Par pudeur, par exemple. Le coincé sera la personne qui n’arrive pas à communiquer, ou si elle y arrive l’information sera tant allégée qu’elle en sera dénaturée. Les autres ne comprennent pas ce qu’il dit, à la limite ne comprennent pas ce qu’il veut dire, et s’ils comprennent le message, en général cela est mal interprété car trop compliqué, trop édulcoré. Les sujets sensibles sont plus ou moins habilement contournés par le coincé, plus ou moins car justement le fait pour un coincé de tourner autour du sujet avec trop d’insistance peut paradoxalement faire remarquer aux autres cette gêne. Le trait de caractère “coincé” peut se mêler aux thèmes du timide ou de l’intello. Le timide, car un timide a du mal à exprimer également ses émotions, dans tous les domaines, donc à fortiori ceux qui peuvent nuire à leur intimité ou ceux qu’ils jugent trop personnels. L’intello peut être coincé car puisque en permanence plongé dans le travail, il peut être en quelque sorte déphasé avec la réalité, et perdre le contact avec cette dernière. A force de tout théoriser, il voudrait théoriser des concepts abstraits et des sensations très instinctives, ou plus simplement des expériences amicales ou amoureuxes ou sujets sensibles. Le seul problème est qu’il y a un pas énorme entre la théorie et la pratique. Ansi le comique de la situation est que l’intello théorise trop ce qu’il voit, ce avec quoi il est en contact. Ce qu’il ne connait pas est démesurément théorisé et s’éloigne de l’expérience sensible des choses qui peuvent être définies de manière plus simple par les non coincés. Disons que l’intello- coincé complique tout pour camoufler le fait qu’il ne connait pas certaines choses. Le renfort de théories ronflantes contre la simplicité vécue des rapports humains est en général en défaveur de l’intello.
Femmes :
}-La fashion victim : Fashionistas oyez, voila l’une des personnalités les plus particulières qu’il soit. La fashion victim est avant de s’intéresser aux vêtements une personne qui accorde une importance tout à fait capitale à l’apparence. Il parait difficile de concevoir une personne parfaitement maquillée et qui n’est pas une fashion victim. On peut d’ailleurs tirer une règle de proportionnalité entre la qualité du maquillage, de l’entretien du corps, et du niveau de fashionism, d’accoutumance aux modes vestimentaires consuméristes. Pourquoi ? Parce que à moins que la personne soit très aveugle, si elle se rend compte assez vite qu’elle n’est pas trop difforme pas rapport aux critères objectifs de beauté, elle comprendra qu’elle dispose d’un potentiel en friche à développer. Donc après le point du maquillage, vient le point des vêtements. Parce évidemment le maquillage peut charmer, envouter, au niveau des yeux, voire provoquer des fantasmes et charmes au niveau de la bouche, mais cela n’est pas tout. Il y a donc les fameux vêtements. Il y a une sorte d’intériorisation par les fashion victims de la valeur symbolique du vêtement. En fait, la fait qu’une personne choisisse un vêtement pour être remarquée ou se faire belle est mineur : en quelque sorte, elle ne choisit pas le vêtement car ce dernier possèdes des qualités de texture particulières ou parce qu’il irait bien sur elle, mais surtout par l’image que le vêtement véhicule. Donc l’image symbolique est celle de l’argent et celle de l’érotisme. Premièrement, l’argent : la règle de base est que plus le vêtement est cher plus il serait tape à l’oeil, et donc plus facilement repérable par autrui . Le mythe du plus cher est le mieux n’est valable que dans le sens ou ce qui est le plus cher se remarquera plus parce que la marque est inscrite est parce que à une marque donné est associé une gamme de tarifs, renvoyant à une image sociale valorisante.. Regardez moi, je porte du …., on se fiche pas mal si cela va ou bien sur mon corps, le principal est que ça soit telle marque ultra connue de tous et très valorisée. La fashion victim est donc quelqu’un qui cherche plus ou moins soit à se faire remarquer, soit à etre remarquée. La différence est que dans un cas, la fashion victim laisse le vêtement agir, appâtant les moustiques qui tournent autour d’elle dans son escarcelle, et dans l’autre cas le vêtement n’est qu’un accessoire afin de servir dans une entreprise de séduction. Le caractère assez intéressant est que si l’on prête ne serait ce qu’un peu d’attention, on remarquera que les formes des visages et du corps se nivellent de plus en plus pour laisser place à des clichés préfabriqués vestimentaires. Le plus frappant est la disparition des yeux sous de grosses lunettes, afin de cacher les éventuelles poches, à 25 ans évidemment, cela a de quoi faire sourire. On se retrouve donc avec des femmes dont on ne voit que quelques portions du visage et qui portent toutes des symboles vestimentaires. La symbolique seconde est celle de l”érotisme. Celui est d’ailleurs en partie gaché. Pourquoi ? Car l’érotisme contient une sorte de dimension de désir de l’autre, de découverte et d’imagination progressive des formes et courbures. L’ennui est que ces courbures et formes sont déja surmises en valeur. Les mouches tournant autour n’ont alors aucun effort à faire pour découvrir les formes des demoiselles. Le plus embêtant si l’on poursuit ce raisonnement est que ces modes vestimentaires caricaturales pourraient bien avoir sonné le glas du beau sentiment. Pourquoi ? Car c’est justement la petite dimension physique du désir qui éveille les passions et qui fait murir en secret le beau sentiment. En fait, le fait de se vêtir de manière provocante, ou suggestive, comme beaucoup d’adolescentes, joue en leur défaveur, pour la simple raison qu’on se trouve en présence d’un décalage. Décalage entre les aspirations des demoiselles, leur age, et ce qu’elles recherchent. La première dynamique est que se vêtir de manière très belle ou trop belle revient actuellement à se découvrir ou se mouler, donc cela fait comme si la demoiselle se mettait sur une place publique complètement nue aux yeux de tous. L’imagination n’a plus rien à découvrir, il ne reste donc plus que le mental à découvrir; or un amour uniquement intellectuel est rare. En d’autre terme, la suggestivité du vêtement progresse à mesure que la désirabilité de la personne diminue : la personne a de moins en moins de chances d’être aimée. Alors évidemment, on pourra rétorquer que les personnes en jean moulant peuvent très bien s’aimer, et partager une vraie fusion magnifique, etc…Cependant, les rapports sont plus superficiels, et beaucoup plus physiques. En effet, avec ces phares sexuels sur les seins et les fesses, comment voulez vous approfondir correctement et non superficielement la connaissance de la personne, hormis le simple contexte physique. Le pire est que ces jeunes femmes ne contrôlent absolument pas le phénomène dont elles souffrent. Elles ont l’impression de contrôler des clichés vestimentaires, alors qu’en réalité ce sont les industriels du vêtement qui controlent les modes, et donc indirectement qui controlent la suggestivité, l’attractivité, les sauts d’humeur de ces jeunes femmes. La seule chose u’elles peuvent encore controler est le porte monnaie parental, bien que la encore le prix soit fixé par les entreprises et les magasins. La dernière mode en matière de tue l’amour est l’excès absolu de rapprochement entre le corps et le vêtement : le slim. Ah, quelle belle invention, que cette seconde peau. Le seul problème est que certains slims recouvrent tellement de près la peau que l’on est encore en droit de se demander ce qu’il reste bien à découvrir. Quelque chose est cependant intéressant à remarquer. Symboliquement, les sièges du désir sont le sexe féminin, et les seins. Or il y a quelque chose d’assez intéressant. La dynamique de réduction progressive de la suggestivité de la personne. Une sorte de fort alamo des sièges désirables érotisés, grillés. En quelque sorte, dans les années 20, il ne fallait pas montrer ses jambes. A partir de 68, les jambes étaient depuis acquises et dévoilées, et donc le désir ne pouvait plus qu’imaginer que des cuisses qui se dévoilaient de plus en plus. En ce début du 21ème siècle, les seins sont moulés, extremement suggérés, et les cuisses paradoxalement sont cachées mais tellement suggérées que les formes sont tout à fait dévoilées. Il n’y a en réalité que les tétons et le sexe féminin qui sont véritablement à découvrir. Voila ce qui reste à la jeune femme du 21ème siècle comme degré de désirabilité : rien, justement car tous les organes décents qui auraient pu stimuler un beau désir ont été peu à peu découverts et sur érotisés. ” Je n’ai plus que ces zones la a vous offrir”, semblent suggérer ces vêtement serrés. Evidemment il est facile de nouer un lien entre la sexualisation du vêtement , la baisse du sérieux d’une relation, et l’aspiration à la protection, la surféminisation de l’intimité. Il est paradoxal en soi mais normal de demander plus de contraception, plus de droits aux sexe alors que l’on s’habille justement dans une optique qui ne dépassera pas le plan physique. On rejoint ici la problématique des lolitas qui souffrent d’un décalage entre l’aspiration exacerbée à plaire et les valeurs sexuelles que communiquent leur habillement. Décalage également entre la simple réunion avec le groupe de copine fashionistas pour s’échanger les derniers truc à la mode en matière de vêtement , cosmétique, et le regard des autres qui logiquement associe le vêtements aux vélleités correspondant à l’age de l’adolescente. En d’autre terme, une personne beaucoup ou simplement plus agée que la jeune femme ne se rendra pas compte pourquoi cette dernière sera morte de peu ou effrayée de faire certaines choses ou se livrer à certaines expériences, puisque en théorie la manière dont elle se vétit suggeste une certaine maturité sexuelle, qui est en réalité mal maitrisée, et plus souvent la compensation de carences affectives ou scolaires.
}-La petite intello parfaite
}- La vicieuse coincée
}- La littéraire
}- La garce
}- L’utilitariste
}- Le bout en train.
Article inachevé…en cours : à suivre : traitement des clichés pour les filles, puis après attachement aux détails et variations de caractère des personnes, donc introspection plus poussée..
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